Guidé par son engouement, Alexandre Di Pascoli a déjà exploré de nombreuses régions en France et dans le monde. Et, pour garder un souvenir de ces lieux hors du commun, il n’oublie jamais de sortir son objectif… Ce qui nous mène à son autre passion : la photographie, et plus particulièrement l’Urbex.
Surnommé « Eye of Isis », se qualifiant de « photographe des temps modernes », Alexandre Di Pascoli pratique essentiellement ce que l’on nomme l’Urbex. Le mot nous vient de l’anglais, il est né de la contraction de « Urban Exploration » qui a été abrégé en Urbex. En français, cela correspond à « exploration urbaine », dans le sens de « visites de friches ». Il s’agit de visiter des lieux construits par l’homme et qui ont été abandonnés depuis un temps plus ou moins long. Les lieux explorés dans le cadre de l’Urbex peuvent être de nature très différente : manoirs, châteaux, églises, mais aussi friches industrielles ou bâtiments publics comme les prisons, les asiles, les hôpitaux… Alexandre Di Pascoli a une prédilection pour les lieux prestigieux, tels les châteaux et les bâtisses de caractère. Ces endroits ont un côté mystérieux qui l’intrigue et le fascine : pour quelle raison d’aussi beaux domaines ont-ils pu être laissés à l’abandon, jusqu’à tomber dans l’oubli ?